
Le grand Idir est parti. Sa disparition m’a surpris et bouleversé, tant je l’ai toujours imaginé infatigable et surtout immortel. Il nous laisse ses mots, ses mélodies, sa voix, ceux d’un génie absolu hors pair d’un poète de la chanson kabyle. Je tiens à présenter à la famille et à la Kabylie toute entière mes plus sincères condoléances.
Sgunfu Di Talwit a yidir n tassa, Ar yibaws .
Samir Hamma