Stop à l'humilitation, agissons !
Libérer les prisonniers d'opinion Kabyles
Libérer les condamnés à mort
Vidéo – Interventions des représentants de la Kabylie au siège des Nations Unies à Genève
Aujourd’hui les droits des peuples autochtones et des minorités n’ont jamais été autant piétinés, violés et bafoués par certains Etats membres de l’ONU.
« Le peuple kabyle subi une deuxième colonisation depuis 1962 et plus dangereusement depuis août 2019 avec la tenue du Congrès Zéro Kabyle à Mostaganem visant son généocide et son extermination.
Plusieurs rappels à l’ordre, plusieurs rapports de la communauté internationale accablent l’état de tutelle pour ces violations graves aux droits humains contre la Kabylie et le peuple kabyle : la gestion machiavélique du Covid-19 avec un bilan de milliers de morts, le déclenchement de feux criminels de feux de forêts en Kabylie causant des centaines de morts brûlés vifs, tortures, viols, arrestations et emprisonnement de masse de plus de 500 militants et militantes de la cause kabyle de l’autodétermination de la Kabylie, assassinat du jeune homme algérien Djamel Ben Smail pour l’imputer ensuite au Mouvement de l’autodétermination de la Kabylie (MAK), condamnation par de lourdes peines pour des milliers de militants politiques allant même jusqu’à la condamnation à mort de 54 militants politiques de la cause kabyle à base de dossiers vides, instrumentalisation de la justice et truchement du code pénal algérien pour criminaliser le militantisme politique du peuple kabyle et classer comme organisation terroriste tout acte politique n’allant pas dans le sens voulu par le régie de tutelle.
Le pays du tutelle signe tous les traités favorables aux droits de l’homme mais n’applique ni ne respecte aucun traité, et pire, il criminalise tout acte militant de défense des droits de l’homme pouvant aller jusqu’à la condamnation à mort… » Zidane Lafdal