Un ouvrage qui nous révèle le début de l’islamisme !

   

Mourad Hammami, journaliste écrivain et réalisateur vient de publier son premier livre chez les Éditions du Net à Paris. L’ouvrage est divisé en quatre parties et s’intitule: « L’islam politique et le terrorisme à l’assaut de la France et de l’Occident ». Nous avons pris contact avec l’auteur pour connaître un peu plus de cette œuvre qui vient de voir le jour. Et il a accepté de répondre à nos questions.

Pour commencer, pouvez-vous nous dire qu’est ce qui vous  a motivé à écrire ce livre ?

Ce livre, je ne l’ai pas écrit par plaisir, mais par devoir. Écrire un tel livre est un risque et une aventure en même temps. Ma conscience m’interpellait sans cesse. Le pire est qu’en tant qu’observateur, j’ai vu le phénomène s’accentuer et le monde laisse faire, se montre passif et complaisant avec cette idéologie qui se compte parmi les plus destructrices au monde, née dans la même période que le nazisme et le fascisme et avait même scellée des alliances avec Adolphe Hitler.

Au départ, c’est-à-dire à partir de 2012, j’ai pris l’initiative d’écrire un petit livre relatif au terrorisme en Algérie, le titre projeté est « Algérie, 20 ans de terrorisme ». Mon village et ma région, qui est Tigzirt, ont été vivement secoués par le terrorisme à partir de 1993. J’ai eu à le vivre de près tout comme la plupart de mes semblables.

Je me suis dit que c’est une page d’histoire douloureuse, qui ne devrait pas avoir lieu et qui mérite d’être racontée. À travers ma région, le livre allait parler globalement de ce phénomène de violence au nom de la région ayant secoué brutalement l’Algérie et ayant fait de ce grand pays un laboratoire sinistre et un précédent en vue de dominer tous les pays de la région, puis du monde.

Lorsque je suis arrivé en France, à partir de 2014 et que j’ai décidé de m’installer, j’ai eu à vivre presque la même intensité de peur et de terrorisme que celle vécue en Algérie. À partir de là, on se pose d’autres questions en plus de celles déjà qui me tourmentaient.

En plus du Paris et de toute la France où les citoyens ont eu à vivre ces moments de peurs et de terreur, en tant que journaliste, je me suis retrouvé quelques jours après les attentats contre Charlie Hebdo hébergé à la Maison des journalistes de Paris. Dans la salle des conférences de ce lieu, il y a une fresque géante accrochée au mur réalisée quelque temps avant par plusieurs des journalistes de Charlie Hebdo assassinés froidement par les frères Kouachi.

Pire encore, ce lieu hautement symbolique est devenu une cible privilégiée d’attentats terroristes. Nous avons eu à vivre pendant une longue période sous le poids de menaces directes et effectives. Cette atmosphère de peur et d’odeur de la mort qui rôdait autour de nous s’est beaucoup plus accentuée car il y avait parmi nous des journalistes syriens et irakiens recherchés par les terroristes, car certains d’entre eux ont réussi à filmer en cachette l’ambiance sinistre à Raqa, capitale de l’Etat islamique, connu sous l’acronyme arabe de Daech. C’étaient les premières images des villes sous contrôle de Daech que le monde a eu à découvrir.

Dans ce climat de peur et de menaces intenses, ainsi que le climat de terreur semé par Daech en France, en occident et un peu partout dans le monde, j’ai trouvé que mon livre sur le terrorisme en Algérie est dépassé. J’ai également compris que ce phénomène ne concerne pas uniquement les pays musulmans, mais vise le monde entier. C’est à partir de là que j’ai décidé de ne pas m’axer sur le terrorisme, mais sur cette force invisible et non identifiée qui produit ce terrorisme. Au fil de mes recherches, le terrorisme m’apparaît de plus en plus comme étant une simple partie apparente d’un iceberg géant et tentaculaire. Il est une organisation secrète, puissante fondée par Hassan Al Banna et six de ses acolytes en 1926 dans la ville d’Ismaïlia en Egypte. Dans notre temps, on voit l’islamisme de nouvelles générations à l’exemple de Tarik ou Hani Ramadan. Or, ces deux frères islamistes ne sont autres que les petits-fils de Hassan Al Banna. Dans toutes, me recherche j’ai eu à découvrir un seul coupable, un seul acteur sinistre et invisible qui s’appelle l’organisation des Frères musulmans.

Le titre du livre est assez pertinent et il résume les actes du terrorisme ?

Je pense que le livre vaut la peine d’être lu. Il ne porte pas sur la chronologie ou la genèse du terrorisme, mais sur les machines qui produisent ce même terrorisme. Ceux qui le fabriquent et le propagent ne sont pas en tenue de terroriste, mais des cols blancs bien au chaud eux et leurs progénitures. Ceux qui sont en bas de l’échelle sont dans le compartiment opérationnel. Le plus souvent des victimes manipulées, endoctrinés, trompés et utiliser comme de la chair à canon, des machines à tuer sans qu’ils ne se rendent compte des tenants et des aboutissant de cette spirale de violence au nom de l’islam.

Après Hassan Al Banna, il y a eu l’arrivée d’un homme qui draine derrière lui l’odeur du soufre. Il s’appelle Essayed Qotb. C’était lui qui a légalisé le recours à la lutte armée contre les non-musulmans partout dans le monde et même contre les musulmans jugés non conforme à leur ordre.

Le livre survole certes des actes terroristes, notamment en France, en Algérie, en Europe, en Afghanistan aux États-Unis, mais tout cela juste pour faire expliquer comment on est-on arrivé là, c’est-à-dire le cheminement sinistre qui a donné naissance à cette violence sans limite au nom de Dieu et de l’islam et au détriment du croyant sincère.

Si vous trouvez que le titre est pertinent, je pense que le contenu est également riche en informations et tout est raconté d’une façon simple et pédagogique dans un long plongeant de l’histoire de plus de 230 ans.

La méthode est simple, je pars sur un fait d’actualité pour vous inviter à l’histoire et vous expliquer le pourquoi et le comment des choses.

Je pense que même un jeune de vingt ans qui aura à lire ce livre comprendra largement ce phénomène complexe et omniprésent qui ne laisse personne indifférent.

Également, je tiens à signaler que le titre est un peu trompeur. Le livre est axé sur la France et l’occident, mais également une importante partie est consacrée aux pays de l’Afrique du Nord. Dans ces territoires, j’ai pris le cas de l’Algérie, mon pays qui a été durement touché par l’islamisme, puis par le terrorisme. Plus de cent pages ont été consacré à l’Algérie. Dans le fonds de tout cela, j’ai tenté d’expliquer aux Français ou à l’occident en général qu’ils sont contaminés par ce phénomène, tout comme nous étions nous aussi contaminés quelques années avant par cette maladie politique lancée depuis l’Egypte et dont son objectif est de dominer le monde.

Pourquoi dites-vous que l’Occident doit écouter l’Afrique du Nord ?

Oui en effet comme cité tout ce qui touche l’Occident avait déjà touché les pays de l’Afrique du Nord, particulièrement l’Algérie. Les puissances occidentales sont dans cette stratégie absurde qui consiste à faire croire que leur bougie brillera lorsque toutes les autres bougies soient éteintes.

Ils laissent faire ce qui se passe comme massacre politique, idéologique et identitaire de ces pauvres pays de l’Afrique du Nord et peut être même, ils encouragent ce chaos, croyant que tant que ces pays qui n’ont d’existence que le nom soit maintenu dans la régression, leurs intérêts se fructifieront.

Dans ma lecture, j’ai tenté d’expliquer que les pays de l’Afrique du Nord qui constituent l’une des portes principale d’accès vers l’occident doivent être aidés à se délivrer de ce marasme et cette prise d’otage double formée par les régimes militaires en place et la nébuleuse islamistes à laquelle ces régimes ont confié la sous-traitance du peuple pour mieux l’endormir, le déboussoler, l’esseuler. Si ces pays se délivrent, c’est toute la zone de la méditerranée qui deviendra rayonnante et prospère. Dans le cas contraire, tout ce qui touche ces pays se répercutera directement sur l’Occident et ce même Occident finira par être envahi, miné et gangrené par cette malédiction politique, sociale et idéologique.

Vous avez parlé de la crise berbériste de la fin des années 40. Est ce que vous voulez dire que la religion est essentielle à la construction nationale ?

Je dirais le contraire, dans les temps modernes, la religion ne construit ni un Etat, ni un peuple. Le temps des religions comme mode de gouvernance est révolu. Ce qui restait de ces mythes ont était balayés par la révolution française de 1789 et la révolution industrielle de 1850. Il est difficile de juger le pouvoir imposé dans différents territoires au nom de la religion dans les siècles passés, car c’était un peu relatif au degré de l’évolution de l’être humain. Mais rien n’empêche de constater que les pouvoirs politiques étaient tyranniques, brutaux, obscurantistes ayant causé beaucoup de dégâts contre les peuples.

Mais parler de nos jours de la religion comme étant une valeur politique, relève à la fois de la naïveté, de la manipulation, du populisme et du grand mensonge.

Il est stupide de voir dans des constitutions des régimes autoritaires attribuer une religion à un Etat. C’est une aberration. Un Etat doit être neutre, il sera tel un mirador dans lequel tout citoyen pourra s’identifier et se repérer.

Ce qui doit unir les peuples, ce n’est pas la religion, mais l’Etat de droit garantissant liberté et justice. La religion doit être définie et classée dans le cadre des libertés individuelles. Que celui qui est passionné sans limite par la religion, applique ou se créer un Etat islamique pour sa propre personne et en toute liberté. Au-delà ce n’est plus son territoire, ce n’est plus son droit. Toute tentative de faire de la religion une affaire collective relève de la mauvaise foi. Dans ce cas celui qui se prétend croyant est à vrai dire un militant au service de courants politico-religieux et non une personne pieuse dans le chemin de Dieu. Mélanger la politique avec la religion, c’est comme le trafic de médicaments de contrefaçon. Non pas uniquement, il ne va pas vous soigner de vos maux, mais il créera en vous d’autres maux, d’autres maladies irréversibles et destructives pour vous, votre entourage, votre peuple et votre patrie.

En un mot, la clef pour se délivrer de ce marasme endémique est d’éloigner la religion de la politique, pour mieux la valoriser et mieux la préserver. Sans cela aucun développement n’est possible, même si le pétrole tombera tel que la pluie sur ces pays qui se réclament musulmans et attribuent à leur régime, à leur Etat une religion alors qu’il est une personne morale et un cadre d’exercice de pouvoir.

En ce qui concerne la crise de 1949 en Algérie, cela fait partie de la genèse de l’évolution de l’islamisme en Algérie depuis l’été 1903 jusqu’aux élections présidentielles stupides du 12 décembre 2019.

Comme annoncé, il y a plus de 100 pages qui sont consacré à ce pays dans lesquels j’ai tenté d’expliquer comment on est arrivé là. Les lecteurs découvriront que l’islam politique en Algérie est une imposture, une création, un envahissement depuis l’Égypte sous la complicité du régime en place. Ils découvriront que l’islamisme est un corps étranger à l’Algérie et qui n’avait aucune trace d’existence presque avant la fatidique année 1976.

A votre avis, tous ces conflits ont donné naissance à la guerre civile en 1990 en Algérie ?

Oui, la guerre civile en Algérie est une consécration sinistre du satanisme politique en Algérie. On a joué avec le feu, on a invité l’Algérie à danser avec le diable. La seule chose que craigne ce régime est les forces progressistes. Donc pour tenter de les vaincre et les stigmatiser, il a semé l’islamisme en Algérie. Ainsi au début, ce régime avait un mur de protection qui est le conditionnement de la société par la répression à travers les services secrets et l’Etat policier, puis maintenant, il a rajouté un autre mur celui d’endormir le peuple par le fanatisme. Ce pauvre peuple se trouve ainsi à deux étages sous-sol. Il lui apprend même à craindre la liberté, et diaboliser toute idée de s’émanciper et prendre son destin en main. Dans la religion de l’islam, comme dans toutes les autres il y a suffisamment d’arguments et de pratiques pour légaliser l’autoritarisme, le paternalisme et la répression de toute idée contraire à l’ordre imposé.

Ce système a fait de l’Algérie une prison à ciel ouvert où tout est joué à l’avance. Une vingtaine d’années à peine après avoir importé l’islamisme, il a fait de lui la première force politique de l’opposition. Donc toute alternative débouchera sur un Etat islamique. Il sait que dans ce cas, les forces progressistes ne vont pas se laisser faire, car accepter l’islamisme, c’est accepter de mourir. Et puis cet islamisme ne lutte pas pour le changement du pays, se débarrasser de ce système, mais luttent avec acharnement pour se substituer à ce régime et mettre en place leur propre régime qui est encore plus dramatique que celui des militaires. Dans tout ce jeu malsain, le régime sait qu’il est gagnant sur toute la ligne. Toute tentative d’aller vers la démocratisation effective du pays conduira à un retour triste vers la case de départ et le pouvoir retombera entre les mains de ce même régime et sa fausse légitimité se renforcera. C’était ainsi que l’Algérie a vécu un tel scénario après l’ouverture démocratique suite aux événements d’octobre 1988, puis l’Egypte a eu à le vivre après le renversement du régime de Hosni Moubarek et enfin l’Algérie risque de vivre le même scénario dans le soulèvement populaire actuel où je crois que les islamistes sont en embuscade et en position de force pour récupérer cette dynamique populaire née du soulèvement de février 2019.

D’après vous comment faut-il faire pour arrêter cette montée de l’islamisme en Algérie ou ailleurs et avec quels moyens ?

L’islamisme utilise principalement deux armes : la peur et l’ignorance. Pour approcher un individu ou une société en vue de la faire tomber dans ses filets, ils utilisent la peur. C’est comme un serpent qui hypnotise sa proie avant de l’attaquer. Au nom d’une religion, ils ne parlent pas de Dieu, mais ils terrorisent au nom de Dieu. De ce fait, la personne qui rentre dans leur rang ne devient pas croyante, mais militante, bien chargé par la haine, l’hypocrisie, le politique. La foi n’est qu’une façade pour tromper et élargir les rangs de cette base politique.

Puis l’ignorance, il profite au maximum et abuse de la société, car rares sont ceux qui savent qui sont en réalité. Le simple citoyen est victime du système autoritaire en place. Ils se présentent à lui comme étant des sauveurs. Ils lui font croire qu’ils sont là pour son bien, ils sont les représentants de Dieu sur terre et leur mission est de le délivrer des mains des tyrans et lui garantir l’accès au Paradis. Donc les premières choses à éliminer sont ces deux armes qui sont entre leurs mains, à savoir la peur et l’ignorance qu’ils utilisent.

Il faut faire un travail massif, chacun selon ses compétences et ses capacités en vue de les démasquer, casser leur mythe, faire convaincre le citoyen qu’ils sont des faux croyants, des imposteurs au nom de la religion et de l’islam. Ne pas se laisser aspirer par leurs harcèlements qui promettent enfer à toute personne qui n’adhère pas à leur dynamique sinistre ou tenter de les critiquer ou remettre en cause leur légitimité divine.

Puis faire un travail de sensibilisation et convaincre ces pauvres peuples que leur salut sera dans un Etat de Droit, moderne, ouvert à toutes et à tous et que la religion appartient à Dieu sans intermédiaire et que celle-ci peut s’exercer largement dans le cadre des libertés individuelles.

Tout cela est possible de nos jours grâce aux nouvelles technologies d’information et de communications, qui cassent radicalement le monopole des moyens de communication ou de censures classiques.

Ce sont des forces obscurantistes qui vivent dans les ténèbres, on va les vaincre par les lumières de nos vérités, par leur mise à nu au grand jour…

Peut-être d’autres projets d’écriture en cours ?

Oui j’ai au moins deux autres livres qui sont presque au stade final. Il devrait voir le jour il y a longtemps, mais le livre que je viens d’éditer m’avait pris beaucoup de temps. Mais aussi, je travaille en parallèle sur deux autres livres dans le même thème qui est l’islam politique et les régimes autoritaires avec lesquels ils cultivent une certaine complicité.

Un mot pour conclure ?
Je vous remercie de m’avoir offert cet espace d’expression libre. Je tiens à dire que les scènes montrant l’islamisme en Algérie ont eu lieu en Kabylie. La Kabylie reste une citadelle mondiale de lutte contre cette idéologie destructive. Un kabyle est mieux placé pour l’expliquer et révéler les labyrinthes de ce mouvement qui est l’islam politique. Une autre fois ce livre, je ne l’ai pas écrit par plaisir, mais par sens du devoir. Il n’est pas possible de fermer les yeux face à ce phénomène qui veut nous enterrer vivants. Je recommande vivement ce livre non pas pour des considérations commerciale, mais pour découvrir, être averti. Ce livre cerne presque ce phénomène depuis la révolution française de 1789, en passant par la chute de l’empire Ottoman, la création de la nation arabe par les britanniques et les français, par la naissance de l’organisation des Frères musulmans en 1928 et jusqu’à présent où ce courant islamo-politique est présent partout et préoccupe le monde par ses intentions de faire soumettre toute la planète à son ordre !

Entretien réalisé par Mokrane NEDDAF

Mokrane Neddaf
Mokrane Neddaf
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3 commentaires

  1. Pourquoi n’utilisez-vous jamais son vrai nom « allah » pour le désigner ? Pourquoi l’appelez-vous « dieu », alors qu’il ne s’agit pas du même dieu. L’islam est le fer de lance de toutes les invasions arabes et la mosquée est son cheval de Troie. L’islam est indissociable du diktat arabe et de sa politique expansionniste, à des fins de domination, de soumission, de substitution et de spoliation des biens et richesses des mécréants et apostats. Les kabyles doivent en savoir quelquechose puisque jadis leurs ancêtres n’étaient pas musulmans et ils ne portaient pas non-plus des noms arabes.

  2. Les frères musulmans arabo-islamistes cherchent à conquérir et à envahir l’Europe, comme ils l’avaient déjà fait par le passé, Charles Martel et son fils Pépin le Bref les ont combattu dans le sud de la France au 8ème siècle, Isabelle de Castille (Isabelle la catholique) les a chassé d’Espagne au 15ème siècle, les ottomans ont réussi à envahir l’Anatolie et Constantinople, puis sont même allé jusqu’en Hongrie. L’idéologie des frères musulmans et du salafisme c’est ça ! Ils cherchent à imposer aux autres civilisations, leur doctrine politico-religieuse, leur vision et leur perception du monde, leurs us et coutumes, leurs lois, leur langue, leur dikat, leur culture (s’il y en a une), etc… Partout où il sont allés s’installer, c’est un désastre pour les populations autochtones, les pays qu’ils ont conquis et dominés ont été ravager et dévasté par la guerre et la misère, et n’ont fait que régresser à tous points de vue et dans tous les domaines : politique, économique, scientifique, technologique, liberté, culture, et art. C’est un fléau qu’il faut éradiquer.

  3. Azul!
    Merci pour ce livre qui j’espère permettra aux occidentaux de se réveiller et aux kabyles de se secouer .
    La naissance de cette religion a été accouchée par la piggy,ratatouille et le saumon ( pour être plus précise les illuminées de ces nations ) .
    Le nom ottoman est latin et anglais .De même que pour le nom Salman qui est mi français et mi anglais .Leur dénomination respective , symétrique et résonante ne peut être bien heureusement pour nous un hasard . AZUL !

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