Stop à l'humilitation, agissons !
Libérer les prisonniers d'opinion Kabyles
Libérer les condamnés à mort
Sale temps pour les traîtres
L’Algérie n’est pas un État, juste un territoire avec une armée et une organisation policière, politiquement semblable à la tchéka de Lénine. Le seul pays au monde où ses généraux sont plus médiatisés que ses ministres. Tout comme sous Staline, dans un temps proche, des généraux vont se retrouver dans le goudron et des ministres, au charbon.
Avant, le régime algérien était constitué de clans qui tantôt se coudoyaient tantôt s’entrechoquaient en pertes et profits. Plus le prix du pétrole grimpait, autant ces clans redoublaient de férocité. La part de la rente pétrolière des uns et des autres se taillait à la mesure de la détermination de chacun des clans à montrer ses capacités de nuisance.
À défaut de s’éliminer, les clans puissants s’envoyaient des kamikazes pour se faire peur et se neutraliser ! Les complicités entre eux sont tellement imbriquées…
Aujourd’hui, sous la pression de l’occident, « un quarteron de généraux en retraite » songent à destituer le président Tebboune, ils ne leur reste qu’à trouver la formule sinon tout est prêt, les institutions, les alliances, les manipulations possibles et la force nécessaire. Les beni qoued cireurs de pompes, tel Hamid Lounaouci, conseiller de Tebboune devant l’Éternel ainsi que les « opposants » Kabyles qui cherchent à clouer Ferhat Mehenni sur une croix, sont désorientés. Ils ne savent plus à qui porter la livrée, à qui servir d’escorte, envers qui effectuer le service d’honneur… Sale temps pour les traîtres.
D.B.