Le Prédateur

Je suis né à Azeffoun ex Port Gueydon et je viens de publier mon 1er roman témoignage "LE PRÉDATEUR" aux éditions Libre2lire. Même si le sujet principal du livre est grave puisque je raconte mon histoire, celle d’un enfant insouciant, émerveillé par la vie, soudain figé dans son élan par la destruction de son innocence, dont la déflagration le projette dans un monde trop dur pour lui. Un chemin d’errance et de solitude au cours duquel il est confronté à la violence de la guerre d’Algérie, à la douleur de l’exil, à la brutalité de l’antisémitisme, au piège de l’illusion, à l’âpreté du monde politique, à la culpabilité. Un chemin de croix éclairé par une passion qui le métamorphose : la poésie. Continuer à lire Le Prédateur

Je suis né à Azeffoun ex Port Gueydon et je viens de publier mon 1er roman témoignage « LE PRÉDATEUR » aux éditions Libre2lire.

Même si le sujet principal du livre est grave puisque je raconte mon histoire, celle d’un enfant insouciant, émerveillé par la vie, soudain figé dans son élan par la destruction de son innocence, dont la déflagration le projette dans un monde trop dur pour lui. Un chemin d’errance et de solitude au cours duquel il est confronté à la violence de la guerre d’Algérie, à la douleur de l’exil, à la brutalité de l’antisémitisme, au piège de l’illusion, à l’âpreté du monde politique, à la culpabilité. Un chemin de croix éclairé par une passion qui le métamorphose : la poésie. 

J’y exprime ma reconnaissance au peuple kabyle dont je suis issu et auquel je suis fier d’appartenir.. De nombreuses pages y sont consacrées : 

« Azeffoun. Les paysages sont magnifiques. Le soleil chatoie la mer et ses criques, rend belles ses vagues, lui donne ses échappées horizontales qui s’envolent dès qu’elles touchent l’horizon. Le parfum des oliviers entre par les narines sur un air de musique traditionnelle, l’achewiq. Les pentes qui dévalent jusqu’au village, sont parsemées de roches, de peupliers, d’eucalyptus, de cyprès, de jardins attenant à des maisons posées dans la lumière, de marguerites, de chardons violets ou jaunes et même quelques coquelicots complices, qui discutent entre eux puis s’endorment quand la nuit les recouvre. Le village fourmille de ruelles baroques qui s’enchevêtrent ou se quittent, bordées d’échoppes de toutes dimensions où la palabre règne sur les affaires. 

Mon village, c’est mon pays. C’est mon enfance. C’est mon langage. C’est mon identité. C’est mon ancrage. C’est mon histoire personnelle. Je suis kabyle et fier de l’être. Mon enfance est constituée de ce sable cristallin brûlé par le soleil, dont les grains soulevés par le sirocco, s’échappent vers le ciel en nuées naturellement chorégraphiées. Mon enfance, ce sont ces heures folles à courir avec Arezki sur la plage des caroubiers. Mon enfance, ce sont des états hérétiques de liberté à faire l’enfant-oiseau sur les toits des maisons recouvertes de tuiles en terre cuite, au risque de poser malencontreusement un pied sur l’une d’entre elles plus branlante que les autres. Mon enfance, ce sont ces moments d’extase à me rassasier de pain bourré de mie imbibée d’huile d’olive, à me délecter de corail d’oursins saupoudrés de beurre, de citron, à m’empiffrer de sardines argentées, à me régaler de zlabias, de makroud pataugeant dans leur miel, à m’enivrer de halwa en pâte de sésame. Mon enfance, ce sont des furiosités à dévaler en patin à roulettes, à la vitesse d’un champion, la rue principale en forte inclinaison, au risque de ne pouvoir stopper mon élan. Sinon, c’est l’accident comme ce jour où je tape frontalement dans un muret et me retrouve, groggy, la tête en sang, avec probablement un traumatisme crânien. Dans ce village du bout du monde, il n’y a pas de médecine des radiographies, des analyses. C’est la loi des hommes sauvages. L’on meurt vite en cas d’accident et si l’on ne meurt pas tout de suite, l’organisme se renforce et ça immunise contre toutes sortes de maladies.

La région fourmille d’artistes de grande renommée, parmi lesquels l’un des maîtres incontestés de la chanson Châabie, Boudjmaa El Ankis et surtout le poète romancier Tahar Djaout, assassiné sauvagement durant la décennie noire, par d’obscurs islamistes. Ses vers résonnent aujourd’hui pour l’éternité : 

« Je suis l’oiseau au cœur qui bat, l’oiseau posé comme une plainte, sur l’arbre assailli de chasseurs. » 

Yvan TETELBOM

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Le Prédateur Yvan Tetelbom
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Rédaction Kabyle.com
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7 commentaires

  1. La Kabylie martyrisée, une terre civilisée pacifique ,amazigh nord africaine en méditerranée occidentale .

    Durant plus de 40 annees ,la kabylie s est battue contre la dictature du Front de libération nationale (FLN) pour sa liberte et la reconnaisance de son identité territoriale,humaine et civilisationnelle .Le raz de maree islamiste algerien n’a jamais atteint la Kabylie, à la pointe du combat libérateur amazigh(berbére). Au niveau électoral les partis islamistes algeriens essuient des echecs cinglants en kabylie.Aucun parti de cette mouvance islamointegriste n’a jamais reussi à s implanter en kabylie ,cette terre amazigh ,africaine du nord ,qui a tant donné aux civilisations de cette région de méditerrannée occidentale ,à 100kms d ibiza,des baleares ,de la sardaigne..et à 10000kms de l’asiate péninsule étrangere arabique!

    La laicité de la kabylie est ancestrale.Elle ne procéde d aucune violence instaurée par les armes ,comme dans certaines dictatures militarolaique,ni d une loi jacobine et contraignante. Elle est le fruit essentiellement de son identité culturelle ,sociale et humaine qui veille à ce que la liberté de chacun puisse s exprimer au sein d un ensemble que l on appelle AGRAW-tajmaath(terme identique à l’agora forum grec) pour que les diférentes composantes villageoises kabyles s harmonisent démocratiquement.La solidarité ancestrale villageoise kabyle est basée sur cette liberté du dialogue,de la concertation et de la reflexion.

    Les doctrines intégristes du terrorisme salafo-arabo- islamistes,malgré des tentatives d introduction par certaines officines flno- panarabistes ,ont toujours demeuré étrangeres à la société civilisée kabyle. Le terrorisme islamiste n’a été transféré en Kabylie qu’à partir de 1997, lorsque le pouvoir algérien conclut un accord de paix avec l’Armée islamique du salut (AIS). Pendant cinq ans, alors que le terrorisme ravageait Alger et ses environs (1992-1997), la Kabylie faisait figure de pays paisible et sûr. C’était la Suisse locale. le terrorisme islamiste sévissait plutôt ailleurs. Dès 1995, les Kabyles furent les premiers à s’organiser et à prendre les armes contre le terrorisme arabo-islamiste.

    L’accord signé entre le pouvoir et l’AIS(armee islamique du salut) en 1997 avait besoin d’un bouc émissaire : la Kabylie, qui refusait d’accepter un Etat flno-arabo-islamique. La fin du terrorisme posait problème au régime algérien. En son absence, comment justifier la présence de l’armée en Kabylie ? Il y eut donc conspiration contre elle. Les terroristes sont autorisés à se venger contre les Kabyles ,circulant “librement” et dressant des faux barrages à deux pas des barrages de l’armée !!!Une impunité et une liberté de circulation de ces “pseudo-terroristes” qui amenaient les citoyens kabyles et ailleurs à se poser des questions quant aux donneurs d ordre ,et à leurs methodes enseignaient ,jadis,dans les écoles du KGB au chapitre du TERRORISME PEDAGOGIQUE.
    M. Bouteflika est arrivé au pouvoir avec la ferme intention de détruire la Kabylie économiquement(en limitant drastiquement les investissements)et socialement . Dès sa première campagne électorale (1999), il déclara à Tizi Ouzou : « Je suis venu dégonfler votre ballon de baudruche ! » Lors de sa deuxième campagne (2004), il cria à Vgayet (Bougie), où il fut accueilli avec des jets de pierres : « Kabyles ! De loin je vous voyais des géants, mais de près vous n’êtes que des nains ! »
    Le pervers gaid salah a pris le relai de la destruction de la kabylie et de tout ce qui représente l’amazighité de cette terre arabonéocolonisée en tamazgha centrale ,l’algérie en général,en avril 2019 ,en répudiant ,aprés l’avoir protégé ,l’enfant apatride de la luxure ,bouteflika ,celui qui faisait, en toute occasion allégeance à son monarque arabomusulman en tamazgha occidentale,hassan 2 et à celui qui a pris le relai arabomonarchique,son fils M6,leur témoignant ,ainsi,que cette enfant d oujda ,élevé dans un hotel pour soldats en rute,avait le maroc ,sa patrie chevillée au corps ,au contraire de l’algérie dont il traita les peuples de médiocre

    M. Bouteflika décréta une « concorde nationale » et prit le parti des jeunes terroristes en disant que, « s’il avait leur âge, il serait l’un des leurs et serait monté au maquis islamiste» ! En 2001 et 2002, la gendarmerie de bouteflika organisa la tuerie du « printemps noir » dans laquelle on dénombra près de 150 morts et des milliers de blessés, dont 1 200 handicapés à vie,L’armée tirait les manifestants de la liberté avec des balles reelles,parceque selon un criminel de la junte des généraux algeriens,l’armée n’a pas de balles en caoutchouc,comme en israel,et était obligé de tirer sur des civils désarmés avec des vrais balles!!!! .Les victimes sont toutes des civils kabyles sans armes. Il commença à envoyer des renforts en surnombre, plus de 100 000 hommes y sont stationnés depuis 2004.
    L’ASTUCE EST DIABOLIQUE:Le terrorisme pédagogique qui instaure un état de terreur résiduel pour casser toutes velleités kabyles de liberté

    Les terroristes islamistes amnistiés sont envoyés en tant qu’imams en Kabylie. Nombre d’entre eux ont été chassés par les comités de village pour avoir incité à la haine et au meurtre. Le maintien du terrorisme en Kabylie permet de faire passer, auprès des médias internationaux et des chancelleries, la thèse suivante :« Le pouvoir algérien se bat contre le terrorisme islamiste. Il fait de son mieux, mérite le soutien de l’Occident. Mais le terrorisme ne subsiste qu’en Kabylie, qui se bat contre ce même pouvoir. Les Kabyles sont donc, sinon les complices des terroristes, du moins leurs alliés objectifs ! » Par conséquent, le pouvoir algérien serait à encourager dans sa lutte contre les Kabyles qui l’empêchent d’éradiquer les terroristes. L’astuce est diabolique, mais elle fait mouche ! Ainsi, on donne de la Kabylie l’image du « bastion du terrorisme islamiste » et du « fief de l’AQMI ».

    On oublie de dire que les militaires algériens ne sont nullement entravés dans leur action par les populations kabyles. Ils se déploient en toute liberté. Les Kabyles, s’ils ne sont pas d’accord avec le régime fasciste algérien, sont encore davantage opposés aux islamistes.

    La Kabylie est livrée à elle même. Les militaires et les terroristes islamistes sont armés, les Kabyles non et sont toujours pacifiques.

    Les pays à travers le monde retiennent ,de plus en plus, que le régime algérien qui maintient à sa tête un “pauvre handicapé ” n’est digne d’aucune confiance. Ils savent qu une sorte de cartel clanique tire les ficelles en se cachant derriere cet “indu president malade”.Une institution maffieuse qui est entrain de mener l algerie vers sa destruction et ses peuples vers des lendemains incertains et un état de déliquescence tout azimuth.

    Le tweet de manuel vals, ,le premier ministre français ,montrant la réalité de ce pouvoir indu algerien,sera le prélude à ce virement de politique de la france,qui commence à comprendre,désormais que le régime indu algerien est un danger et pour l’algerie , ses peuples et pour la stabilité en méditerranée occidentale
    Il est temps de ne plus soutenir ces tyrans et leur systéme maffieux qui depuis l independance de l’algerie sévissent en toute impunité
    La france et sa néo coloniale ,hélas, « francoarabia » en algérie est entrain de mettre en branle un scénario qui lui explosera à la figure
    En effet,jugeant son travail neo colonial ,par son soutien à la caste des « autoproclamés généraux « algériens,galons qu ils ont « gagnés » dans les massacres contre leurs pauvres peuples désarmées d enfants,de femmes et d adultes en tamazgha centrale,comme à bentalha,rais,mascara,benimessous,dans les piedsmonts des massifs amazighs blidéens,elle est entrain de donner en sous traitance, »ses affaires algériennes » ,aux « vrais arabes » émiratis et saoudiens,pour maintenir la dictature militaro flnoarabiste ,à sa tête gaid salah,un mutant chawi de l’arabisme colonial,auto proclamé général -monarque de ce pauvre pays neo colonisé ,l’algérie,par sa caste d’imposteurs dont la haine de soi « amazigh » est étalée dans ses discours nauséabonds de kabylophobie .
    La france et ses sous traitants ,les vrais arabes ,émiratis,saoudiens,descendants du vil okba ,l’envahissuer de notre terre tamazgha amazigh, se rendent ils compte que TAMAZGHA CENTRALE ,L ALGERIE ,TERRE DES IMAZIGHENES , ne se laissera jamais néo colonisée par cette imposture néo coloniale »francoarabia »?
    Il est vrai que la neo coloniale franco arabia est une mauvaise éléve!

    Alkapeca

  2. Nos salutations les plus fraternelles à notre chèr frére Yvan.Comment ne pas avoir de la rage en remarquant que notre terre kabyle en tamazgha centrale ,en général ,vit sa pire période coloniale ,depuis 1962 ,lorsque la néo coloniale « franco-flno militaro-arabia » pris le relai de la coloniale apartheid française ,pourtant porteuse de civilisation des lumiéres,terre de voltaire et d hugo.
    En effet cette neo coloniale « francoarabia » qui sévit actuellement ,en tamazgha centrale,n’a trouvé de PIRE HUMILIATION A L’ENCONTRE DES IMAZIGHENES QUE NOUS SOMMES (kabyles,chawis,mozabites ,chenwiyénes,terguis…..) ,ENCORE, que de désigner ,pour gérer ses intérêts coloniaux,les vils émiratis ,ces vrais arabes qui ,un peu tout partout ,dans l imposture monde colonial dit « arabe » propagent les fleaux de la déliquescence et de la misére,tout azimuth ,avec l’approbation des corrompus de la caste « des autoproclamés généraux algériens »,galons qu ils ont gagnés dans les « massacres et guerres « contre leurs peuples soumis et désarmés en tamazgha centrale ,à rais,bentalha,benimessous,relizane….
    Hélas,le constat est amér que de voir que les imazighénes se laissent « neo coloniser sur leurs terres par des sous traitants vils émiratis .Honte à nous ,honte aux imazighénes,en général, qui n ont que leurs yeux de lâches soumis pour pleurer leurs terres en tamazgha car incapables à ce jour de défendre comme des HOMMES LIBRES LEURS IDENTITES plurielles d imazighénes et leurs terres que la neo coloniale franco arabia ne cesse d arabiser jusqu’à la pire des humiliations coloniales

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  3. Nos salutations les plus fraternelles à notre chèr frére Yvan.Comment ne pas avoir de la rage en remarquant que notre terre kabyle en tamazgha centrale ,en général ,vit sa pire période coloniale ,depuis 1962 ,lorsque la néo coloniale « franco-flno militaro-arabia » pris le relai de la coloniale apartheid française ,pourtant porteuse de civilisation des lumiéres,terre de voltaire et d hugo.
    En effet cette neo coloniale « francoarabia  » qui sévit actuellement ,en tamazgha centrale,n’a trouvé de PIRE HUMILIATION DES IMAZIGHENES(kabyles,chawis,mozabites ,chenwiyénes,terguis…..) ,ENCORE, que de désigner ,pour gérer ses intérêts coloniaux,les vils émiratis ,ces vrais arabes qui ,un peu tout partout ,dans l imposture monde colonial dit « arabe » propage les fleaux de la déliquescence et de la misére,avec l’approbation des corrompus de la caste « des autoproclamés généraux algériens »,galons qu ils ont gagnés dans les « massacres et guerres « contre leurs peuples désarmés en tamazgha centrale ,à rais,bentalha,benimessous,relizane….
    Hélas,le constat est amér que de constater que les imazighénes se laissent « neo coloniser sur leurs terres par des sous traitants vils émiratis .Honte à nous ,honte aux imazighénes,en général, qui n ont que leurs yeux de lâches soumis pour pleurer leurs terres en tamazgha car incapables à ce jour de défendre comme des HOMMES LIBRES LEURS IDENTITES plurielles d imazighénes et leurs terres que la neo coloniale franco arabia ne cessent d arabiser jusqu’à la pire des humiliations coloniales

  4. Bonjour Yvan, les frontières de l’Algerie, comme beaucoup d’autres frontières en Afrique, ont été tracées à une époque (il n’y a pas si longtemps au 19ème siècle) où on tracait encore des frontières comme on découpe les parts d’un gâteau, et la plus grosse part du gâteau était pour devinez qui à ton avis? Quant à ta chère Kabylie de ton enfance, ce n’était que la cerise sur le gâteau.
    Question : c’est qui « on »?
    Réponse : c’est une très bonne question.

  5. Neẓra belli llan igad, am Ivan, ig ḥemmlen tamurt taqbaylit, u llan igad ig kerhen tamurt taqbaylitsi 62 ar ass-a. Ayagi walant, slant akk medden, kra n uqbayli ig sɛan taqbaylit akked tmaziɣt deg ul-ines. Llan wigi i wumi nessawal ‘iqmayliyen » neɣ « ixemmasen n imnekcem « aɛrab-ineslem », wigini qwan deg « iqmayliyen » n tmanaɣt n lzayer (Alger). Zemerɣ ad d-keɣ tuddar id-ifkan ixannaben agi , am tuddar id-izzin i Uẓeffun, am taddart n Iɛeccuba, taddart n At Sidi Yeḥya, taddart n Cerfa. Tuddart agi qwan degsent imsɛarben i d-yusan ar Uzeffun. Hatnad akka tura d tagnawit i ttmeslayen deg Uzeffun, maca ugin tutlayt nsen taqbaylit i ɣunzan. Di ddula n Fransa, llan imasiḥen, udayen, iqbayliyen, maca udayen agi ssawalen merra s teqbaylit u ttɛawanen imeɣban iqbayliyen. Amedya: widak ig ttinigen ɣer Fransa, reṭlen asen id idrimen lḥeqq n rekba.
    Asmi tekker lgirra nekkni d urumi amhersan, xilla n udayen n Uzeffun fkan afus n tallelt s tedrimt nsen akken tagrawla ad taweḍ ar lebɣi-s.
    Asmi tefra lmir (maire) amenzu n Uẓeffun d uday isem-is Jako. Dagi kan ara twalim miḥyaf d rasism id-innulfan, di 63 asmi  » teffeɣ Fransa, tekcem lzayer ». Seg assen tamurt taqbaylit merra tettwaɣ, tugi ad taf iman-is imi d imnekcem ig llan ɣef yiri-s ar ass-a n wussan. Tanmirt nwen.

  6. L’énergie guidée par l’espoir que nous portons, permettrons à la kabylie et nos petits villages de retrouver la beauté du Phœnix qui renaît de ses cendres.

  7. Hélas la réalité de la Kabylie d’aujourd’hui ne correspond plus à la description angélique et poétique qu’en fait Yvan, et c’est bien heureux qu’il ait pu en garder d’aussi beaux souvenirs de son enfance, car ses rêves d’enfant ont viré au cauchemar. Lors d’un de ses voyages, l’Archiduc d’Autriche Louis Salvador de Habsbourg fût tellement émerveillé par la beauté de Bougie (Bgayet) qu’il la qualifia de « Perle de l’Afrique du Nord ». Lui au moins connaissait bien sa géographie, et ne confondait l’Afrique du Nord avec le Moyen Orient. Aujourd’hui Bgayet ressemble plus à une décharge à ciel ouvert, sans parler de la pollution de la mer que je recommande à personne de s’y baigner, et des constructions à l’architecture (s’il y en a une) totalement anarchique. Les français leur ont laissé un paradis et ils l’ont transformé en enfer. Ils n’ont pas tout saccagé, mais presque.

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