La Kabylie, malade du Docteur SS…

Deux lettres, hélas tristement célèbres, évoquant les crimes nazis.

Ce Docteur présente une ressemblance avec Adolphe Hitler, une moustache visible et une similitude invisible : un esprit criminel derrière un visage hideux ! Deux personnages machiavéliques. Le militaire exerçait sa fonction de Dracula génocidaire de l’humanité à visage découvert.

Par contre, le Docteur SS n’a jamais exercé de fonction ; sa mythomanie sans limites lui fait croire qu’il est docteur, mais à ce jour, aucune trace d’une quelconque fonction. Ce tartuffe, tout comme Hitler, fait de la politique.

L’aîné, avant de se suicider, a laissé derrière lui des millions de cadavres et la démence de la Shoah voulant exterminer le peuple juif ; il a échoué de peu.

Notre Docteur SS, lui, est natif de Kabylie. Il est plutôt insignifiant, au propre comme au figuré. Ce médiocre lâche a un seul supposé ami, le président Nain malsain.

Ce dernier, malgré sa sénilité, est parvenu à être le maître absolu de l’Algérie bien qu’il ait perdu la tête depuis des années, assis sur son fauteuil roulant, exhibé face au peuple par ses esclaves comme pour un numéro de cirque !

Pauvre peuple algérien ayant perdu toute trace de ses racines ou bien les refusant, qui subit la loi d’un président Nain malsain.

Le drame de celui qui se nomme Docteur SS, dès l’arrivée au pouvoir du Nain malsain, se met à délirer, ce qui lui confère un autre titre : président du royaume des citoyens débiles, car tous les malades mentaux se sont précipités afin d’adhérer à son parti. Ce qui donne le sigle : DSSRCD…

Éclaircissons mon propos…

Ce fameux Docteur SS – désignons-le par la lettre D. – a créé un parti. Ce fondateur, primitif à la moustache balai-brosse, petits yeux traîtres derrière ses lunettes, se précipite pour obtenir un rendez-vous auprès du Nain malsain. En sortant du bureau présidentiel, D. est métamorphosé ! 

Il déclare devant la presse :
– Je viens de faire la plus belle rencontre de ma vie !

La presse, muselée et tenue en laisse par le Nain malsain, se met à applaudir ! Clap… clap… clap…

Chacun pourrait se demander si D. ne vient pas de perdre le peu de conscience dont il était doté.

Depuis ce jour, D. ne se déplace qu’en voiture blindée, perçu comme un messie par ses adeptes.

Il se rend en Syrie faire sa prière, geste attestant de sa soumission totale, son allégeance à ses nouveaux maîtres, donnant un signe fort d’esclavage envers son président.

En Kabylie, D. se prend pour un personnage incontournable. Fini le docteur, puisqu’il n’a jamais exercé, place au rêve de devenir le futur président !

Après sa première déclaration fracassante, suite à une défaite d’élections locales, il déclare tout prétentieux et vexé comme un pou :
– J’ai perdu parce que je me suis trompé de peuple !

Tiens, ce fils d’un simple ouvrier kabyle du côté de Tizi serait un génie ignoré, mal aimé ?

Ce minable se permet sans gêne ni honte de mépriser la classe populaire la moins aisée dont son père fait partie et dont il est issu.

Il enfonce le clou au cours d’un débat télévisé face à des millions de téléspectateurs et s’adressant au vainqueur des élections :

– Ne criez pas victoire ! Vous avez gagné parce que nous avons affaire à un peuple de clochards !

Piqué au vif, son interlocuteur sursaute dans son fauteuil et s’exclame :

– Maudit petit minable D. ce peuple que vous venez de traiter de clochard, ce sont mes enfants et une fois au pouvoir, je les rendrai riches et heureux.

Effectivement, D. maudit par les millions de citoyens traités de clochards, perd raison et honneur.

Non content de se pâmer devant le Nain malsain, il se précipite participer au gouvernement Ben Flis, Premier ministre, qui envoie ses gendarmes en Kabylie assassiner 128 de ses enfants et devant ce carnage, ce fut un silence total ! À l’intérieur du pays comme à l’extérieur.

D’origine kabyle, rappelons-le, D. a ainsi soldé ses racines et son identité est devenue celle de l’argent et de la corruption. Il est récompensé par ses maîtres avec une résidence au Club des Pins. Logique implacable : un traître ne peut vivre qu’au milieu de ses semblables…

Allez, une dernière pour la route, car l’on ne peut pas énumérer tous ses gestes criminels :  

À présent que le Nain malsain est destitué de son trône roulant, au cours d’une conférence de presse parisienne, D. au visage hideux, malgré une pile de feuilles de papier où il est censé avoir gribouillé son discours, transpire et se contredit devant les présents curieux.

La conférence terminée, il chuchote à voix basse à un spectateur :
– À présent, je suis certain que c’est Ferhat Mehenni qui a raison d’être resté dans l’opposition.

Réponse de l’interlocuteur :
– Mais alors, pourquoi t’es-tu fait complice du pouvoir assassin ?

Mine défaite D. rétorque piteusement :
– J’espérais renverser le régime de l’intérieur !

Sacré D. alias Docteur SS, il sera un pauvre énergumène jusqu’à sa mort. Il restera pour l’Histoire, un traître.

Enfin, les masques tombent !   

Shamy Chemini
Artiste, écrivain, réalisateur, conteur, membre fondateur du groupe Les Abranis
 
21 juin 2019

Shamy Chemini
Shamy Chemini
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3 commentaires

  1. Our hamlagh aghma athawthagh ourhamlagh ouithikathane
    Ce n’est pas on s’insultant qu’on va avancer .
    Est ce qu’il y a un jour où vous avez lu un arabe algérien attaqué son semblable .
    il faut qu’on se corrige entre nous avec respect et avoir une culture de pardon et de raisonnement que nos aïeux nous ont transmis si on veut ressusciter la fraternité entre nous afin d’affronter les difficultés de demain .
    Fraternellement

  2. Notre machiavel kabyle est toujours désigné pour les sales besognes,celle par exemple d’algérianiser les kabyles aux services du pouvoir arabo-muz.

  3. Ministre de l’inculture et de la haine

    Assez de vos mensonges et fake Mr le ministre de l’inculture. Ravalez votre haine avant qu’elle ne vous aveugle. 

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