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La démission collective des Bretons devant leur histoire d’esclaves détruits par la France
L’HISTOIRE DU LIVRE BLEU et du projet d’opéra ANNE DE BRETAGNE
La folie et les insultes des Bretons m’avaient fait abandonner le combat, en 1999. A cette époque, avec peu de moyens, j’avais déjà eu l’occasion de parler de l’annexion scandaleuse de la Bretagne par la France, en 1532, dans une cruauté hallucinante, en violation du droit du temps, notamment au cours de plusieurs émissions à radio – courtoisie, seule radio qui acceptait que l’on traite publiquement de ce sujet. Je fus reçu par Claude Reichman, par le Commandant Pierre Guillaume, par Didier Rochard, par l’éditeur Corse Jean Luc de Carbuccia, d’autres encore.
En 1997, candidat à la succession du Médiateur de la république Jacques Pelletier, je préside un colloque au Sénat de la république française sur Anne de Bretagne, et sa lutte féroce en faveur de son pays. 300 personnes présentes, pas un sénateu, pas un députeu, tous invités pourtant : ils ont caché leur tête sous le sable.
Je conçois,, en 1992, un projet mirobolant : faire composer par un musicien connu, un opéra sur la vie et le combat d’Anne de Bretagne.
En 1999, j’ai la faiblesse d’aller présenter mon projet d’opéra sur à Yvonig Gicquel, alors président de la chambre de commerce, à Lorient. Il s’en empare aussitôt, avec des gens que je considère comme très peu recommandables. Une semaine après lui en avoir parlé, mon projet est repris par d’autres, et publié dans la presse aux ordres, vendue au pouvoir. Télé-Crasse est aux premiers rangs.
Nous organisons deux séances de travail à Rennes, à l’Institut culturel, avec Marcel TEXIER, président de L’organisation des Bretons de l’Extérieur (OBE), et l’ambassadeur Mainguy.
Nous sommes insultés !!!!!!
Ce n’est pas tout à fait une surprise, l’insulte étant une spécialité bretonne, surtout dans ces milieux. Parmi les invités spécialiste en grossièreté : l’homme de CRO-MAGNON, survivant de sa grotte, sorti de sa cage pour se livrer à son exercice préféré : l’éructation, dans laquelle il excelle.
Je suis tellement indigné du procédé, ceci faisant suite à des injures innombrables depuis des années, que je décide de tourner le dos DEFINITIVEMENT à ces cinglés …… et à DEVENIR FRANCAIS !
Le Nail, président de l’Institut Culturel de Bretagne, s’abstient de comparaître, son devoir pourtant. Mais il a connaissance de mon projet, et en a parlé autour de lui.
Peu de temps après, UNE PERSONNE fait le voyage à Paris, pour me décider à changer d’avis. Pierre LEMOINE, qui a consacré sa vie à la Bretagne, et présidé des années durant l’UFCE, me dit :
« Votre savoir NE VOUS APPARTIENT PAS. Vous êtes un universitaire, et vous êtes LE SEUL capable d’exposer aux Bretons ce qu’à été leur véritable histoire, et les CRIMES CONTRE L’HUMANITE dont nous avons été victimes. VOTRE SAVOIR APPARTIENT A VOTRE PAYS. VOUS N’AVEZ PAS LE DROIT D’ABANDONNER ».
J’ai un sens du devoir très puissant : l’héritage de mes parents Bigoudens ; des Saints. Ce sont ces simples mots qui seuls pouvaient me motiver. Aucun autre raisonnement ne pouvait me décider à reprendre mon action.
Puis il y a eu les refus, les rebuffades, les insultes, pendant des années, les trafics opérés sur ma biographie dans Wikipédia … Et cette abomination, maladie éminemment bretonne : LA JALOUSIE. Féroce, toujours présente. C’est INIMAGINABLE. Elle mobilise tous les imbéciles.
J’ai rompu tout contact, très vite, avec ces malades psychiatriques, et méprisé ces gens.
Ce peuple est malade
Ce peuple est MALADE, d’une maladie psychiatrique collective, et incurable. Il y a deux mille ans que cela dure. Ils ont une exceptionnelle affinité pour l’échec et l’esclavage.
Je me suis réfugié dans ma tour, ces milieux étaient infréquentables, pire : incapables de concevoir la moindre stratégie. Je ne suis plus retourné en Bretagne, sauf pour me rendre chez des amis.
J’ai donc agi seul, avec mon ordinateur ….. Et le soutien constant d’un seul homme : PIERRE LEMOINE. Il m’a réconforté, toujours soutenu, relancé d’année en année, avec un acharnement jamais lassé. Sans lui, la folie et les insultes de ces Bretons m’avaient fait abandonner le combat.
Il fallait rédiger une synthèse englobant deux mille ans d’histoire, qui soit aussi un texte mobilisant et motivant les lecteurs, avec un programme national pour l’avenir, était une tâche impossible. Je l’ai pourtant réalisé ; il a fallu dix années de travail pleines.
Enfin, en 2009, le travail a été rédigé d’un seul trait, en un mois. Je suis allé le présenter à Bruxelles. Mon intervention a été filmée ; on peut l’entendre sur la toile (mélennec à Bruxelles).
Le LIVRE BLEU, imprimé en 2009, a été très vite épuisé
En 2014, Pierre Lemoine a insisté pour faire une deuxième édition. La première, quoiqu’assez peu diffusée, a été largement connue, pour avoir été reprise sur le site de Yann Fouéré. Je ne voulais plus aller plus loin. Ma tâche était terminée.
Et puis, le petit tirage de 2009 étant épuisé, j’ai décidé de faire une version PDF, téléchargeable. Gratuite donc. Là, cela a éclaté. Plusieurs sites s’y sont mis. Puis dix, puis quinze, puis vingt, puis trente. Vous savez que les Bretons sont pires que les Ecossais en avarice. Six euros, le prix d’une bière dans un café, était trop cher pour ces radins. Et, de plus, parmi ces militants frénétiques, tous se croyant importants et sortis de la cuisse de Jupiter, AUCUN n’a passé commande d’un seul exemplaire, à ce que m’a dit Pierre Lemoine !!!!!
Ils se préparent à un autre projet : en 2014, quatre d’entre eux vont vendu Nantes et son département à l’ennemi : 35 pour cent de notre PIB ! Ils sont devenus « ministres », c’est à dire esclaves. On attend qu’ils soient jugés, s’ils survivent.
Par jalousie, bêtise, étroitesse d’esprit encore. Ils ont encore attendu des mois et des mois avant de lire l’ouvrage, car tous en parlaient.
Pierre Lemoine, ce vieux militant, ce héros breton, n’a reçu aucun encouragement de ceux qu’il avait fréquentés toute sa vie. Pas une aide ni un encouragement des « milliardaires » bretons, sauf UN, dont il ne m’a pas révélé le nom : un peuple de HEROS !
C’est la population, qui attendait depuis longtemps quelque chose, se doutant quelque part que notre histoire cachait un drame affreux, qui s’est précipitée assez rapidement sur l’ouvrage, qui a fait cette fois sensation. Des gens simples, écrivant sur du papier d’écolier, ou détaché d’un bloc à écrire, avec des fautes d’orthographe … Un médecin de Brest est venu à Paris me présenter sa femme, ses enfants, ses petits enfants. Il m’a écrit :
« Nous nous doutions de quelque chose; nous savions par intuition qu’il s’était passé des choses affreuses, mais nous n’avions aucune preuve de rien. Vos publications dans internet ont fait la lumière : maintenant, nous savons que ce que nous avions deviné était vrai, cela nous réconforte, mais c’est désastreux ». Il a ajouté : « Nos vous soutiendrons, mais dans l’obscurité; nous savons que nous nuirions à notre action si nous agissions au grand jour : l’Etat français nous tomberait dessus à bras raccourcis ». Mieux : « Vos écrits vont profondément changer les rapports de la Bretagne avec la France ».
Je n’ai plus entendu parler de lui ! Ah qu’elle est belle, la Bretagne !
Des lettres simples, mais combien émouvantes, enfin, nous sont enfin parvenues ! Un émigré Breton en Amérique, nous écrit :
« Notre vieille maman, qui parle si mal le français, et qui est restée au pays, se fait lire chaque jour le Livre bleu; à chaque fois, elle n’arrête pas de pleurer ».
Ce sont ces témoignages humains de cette qualité, qui ont été notre récompense. Vous imaginez avec quelle émotion nous les avons reçues : nous découvrions cachés derrière les carcasses des prétentieux prétendus « patriotes », arrogants, ceux qui ont manipulé les épurations en Bretagne en 1945, une vraie population bretonne dans l’âme.
Rapidement cette fois, des jeunes se sont réveillés …
Les éditeurs bretons ont été lamentables
Les méprisant de longue date, je n’en ai contacté aucun. Sauf Coop Breizh. Pas pour publier dans cette officine, mais pour tester son directeur, militant breton, ou se disant tel. Pierre Lemoine, lui, les connaissant personnellement depuis des dizaines d’années, et ayant même fait partie de plusieurs comités d’administration, les a tous contacté, se croyant en terrain d’amitié. Il se trompait, lourdement.
Mais le personnel de la maison a été renouvelé !
Nous avons bénéficié de larges soutiens à l’étranger. La Voix de la Russie – diffusée alors dans cent pays, en quarante langues – nous a beaucoup aidés. A cette époque, ce média est publié dans cent pays, en quarante langues. La Kabylie nous a fourni un important soutien moral, et a publié nos articles.
Aujourdhui, TOUS LES « SCAVANTS » BRETONS COPIENT mes travaux, et, bien sûr, se les attribuent . Jusqu’à en perdre haleine. Sans citer jamais leurs sources. Je l’avais annoncé à la tribune à Bruxelles, en 2009, connaissant par expérience la lâcheté des lâches.
Bis répétita : AH QU’ELLE EST BELLE LA BRETAGNE !
Diffusez partout ce texte : les droits de l’homme de la France : ASSEZ, ASSEZ, ASSEZ, on n’en peut plus !
LE BON DOCTEUR MELENNEC