Entraves à la liberté d’informer

Kabyle.com est censuré et bloqué en Algérie depuis le 25 juillet 2020 comme de nombreux médias indépendants à l’international dont les sujets culturels, éducatifs sont jugés trop polémiques ou trop sensibles par le pouvoir algérien.

Depuis sa création, notre média joue un rôle important et n’a eu de cesse d’être attaqué pour les idées et valeurs en faveur des droits humains et culturels qu’il véhicule, de ses révélations qui écornent l’image des voyous qui dirigent l’Algérie depuis 1962.

Kabyle.com média kabyle d’expression francophone

En 2017 notre compte Google Adsense était suspendu sans explication valable.

Nous remercions le Congrès Mondial Amazigh pour ses donations spontanées à deux reprises.

En 2015, notre principal correspondant en Kabylie était attaqué en justice sans fondement au tribunal de Tizi-Ouzou.

En 2004, nous étions poursuivi en diffamation par notre concurrent direct, basé aujourd’hui en Algérie. Nous avons obtenu gain de cause après 4 années de poursuites.

Régulièrement notre site est attaqué par des cyberattaques qui brisent son élan.

Depuis 1999, un combat unifié pour la Kabylie

Engagés à donner un vrai sens à nos origines Kabyles, investis dans un combat digital pour la Kabylie, Kabyle.com donne la parole au plus grand nombre.

Les personnalités, les rédacteurs, contributeurs talentueux s’expriment en toute liberté au sein de sa communauté. Première plateforme d’information kabyle dans le monde, elle est un lieu de collaboration autour d’un collectif de journalistes et contributeurs indépendants !

L’indépendance politique passe tout d’abord par une victoire culturelle et médiatique : c’est ce que nous mettons en œuvre chaque jour au travers de notre média.

A l’écoute des nouveaux enjeux sociétaux, éducatifs et environnementaux, nous aidons aussi à regagner du terrain face aux politiques d’arabisation, d’islamisation et aux idées reçues.

Unissons nos forces !

Notre ligne éditoriale est ouverte sur toutes les cultures du monde.

Rejoignez-nous, notre média a besoin de l’apport de toutes les bonnes volontés.

Stéphane ARRAMI