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Algérie : La résurrection des Banou Hilal et des brigands
Après le match amical Algérie – Mauritanie, certains journaux algériens ont félicité leurs joueurs ainsi que l’entraineur de l’équipe nationale algérienne pour leur geste de soutien à La Palestine. Ces joueurs ont arboré l’emblème palestinien sur leurs maillots et leurs noms ont été écrits en caractères arabes, sachant que cela se passait sur des terres amazighes. Juste après le match en question, sur les réseaux sociaux, on pouvait lire : Palestine 4 – 1 Mauritanie.
Sur nos terres amazighes d’Algérie, un peuple a été bâillonné et réprimé depuis 1962. On a tout fait pour effacer sa culture et lui couper ses racines en lui imposant une culture de substitution importée du Moyen-Orient. Ses richesses ont été pillées. Actuellement, nos enfants croupissent en prison, car ils ont arboré notre emblème berbère ou bien ils ont osé critiquer ce pouvoir perfide. Le sionisme nous paraît comme un ange en face de ce dernier et ces écervelés ont fermé les yeux devant toute cette injustice et viennent nous casser les c.. avec la Palestine.
La majorité des pays de l’Amérique latine parle la langue espagnole, mais aucune de ces nations ne se dit espagnole. Un citoyen du Chili se dit chilien, celui d’Argentine se dit Argentin, etc. Ils sont tous fiers de leur patrie et se reconnaissent tous que leur nation avait combattu les Espagnols à une période de leur histoire pour arracher leur indépendance. En Algérie dont la population est à 90 % Amazighe, il se passe paradoxalement le contraire, des citoyens se présentent comme étant des Arabes avant de décliner leur algérianité ; rappelons que le Koweït est le pays où le génome arabe est dominant, celui-ci est à 60 % arabe.
Cette aliénation culturelle est le fruit d’une politique développée et entretenue par le pouvoir algérien depuis la pseudo-indépendance de 1962. L’école de la République a été utilisée comme une arme de destruction massive ayant transformé nos concitoyens en des mutants plongés dans une crise identitaire profonde. Ce qui explique les raisons pour lesquelles ils veulent être plus arabes que les Arabes, plus Palestiniens que les Palestiniens, et font l’éloge des envahisseurs et brigands que leurs ancêtres avaient combattus dans le passé de Okba aux Banou Hilal.
Ces deux dernières décennies, une grande partie de l’élite algérienne s’est expatriée, avec femmes et enfants, non seulement pour fuir un pouvoir machiavélique ayant réduit à la servitude tout un peuple, mais c’était surtout pour préserver leurs enfants d’une éducation d’un autre âge qui pourrait en faire d’eux des bigots et des dépravés. L’école algérienne est un lieu où l’on produit des islamistes et des violeurs.
L’histoire nous enseigne que ceux qui ont créé et nourri le mouvement indépendantiste de l’Algérie française, de l’ENA au FLN, étaient des francisants. Ils appartenaient majoritairement à l’élite algérienne ayant reçu une instruction dans la langue de Molière au sein des écoles de la République française. Les arabisants regroupés au sein de l’association des Oulamas n’ont rejoint la lutte armée qu’en 1956, avant cette date, ils n’imaginaient pas une Algérie en dehors du protectorat français.
Après l’indépendance, avec l’arrivée au pouvoir de Boumediene, rappelons qu’il s’agit d’un personnage ayant fait ses classes à Zitouna et El-Azhar avant de rejoindre l’armée des frontières, les arabisants, malgré leur nombre minoritaire au sein de l’élite algérienne ont fini par prendre le dessus au sein du pouvoir et imposer l’arabisation de l’éducation nationale. Ils se sont même permis de réécrire l’histoire en nous présentant la Badissia comme étant l’artisan de la révolution armée déclenchée en novembre 1954.
Ces partisans de l’arabisation ont interdit d’emblée la langue des dépositaires de ces terres, Tamazight, et ont tout fait pour écarter la langue de Molière du système éducatif national. Ils préfèrent la langue d’Abu Djahl et passent leur temps à dénigrer ceux qui continuent à utiliser langue française en les traitant de « résidus de la France coloniale », mais ils omettent de reconnaître qu’eux-mêmes sont un spectre du brigandage arabo-islamique du 7e et 10e siècle. A notre connaissance, la langue arabe ne nous vient pas de Chelghoum El-Aid !
On a transformé l’école en une forme de zaouïa : après une leçon des sciences de la nature expliquant à un élève ce qui produisait les tremblements de terre, un autre professeur viendra lui réciter une sourate remettant en cause toutes les notions scientifiques qu’il venait d’apprendre. Cette école contribue à l’abrutissement de nos enfants en leur inculquant une vision sectaire du monde teintée de bipolarité. Même lorsque certains Algériens s’expatrient pour fuir leur misère, ils continuent à reproduire les mêmes pratiques qui étaient à l’origine de leur tragédie.
A présent, le peu de francisant qui nous reste continue de gagner des prix littéraires à travers le monde et incarne la fierté d’un peuple opprimé et meurtri. En revanche, l’arabisation conjuguée avec le népotisme et parasitaire est devenue la source de nos grands malheurs. Dans nos écoles, elle a produit des Hattab et des Antar Zouabri, des barbares ayant causé plus de 200 000 morts dans leur confrontation avec leur géniteur : la junte militaire.
C’est également dans cette école que sont sortis les violeurs d’enseignantes à Bordj Badji Mokhtar. Cet événement prouve que l’enseignement de la religion à l’école ne contribue pas à moraliser la société. Au contraire, celle-ci a voilé une partie de nos femmes et de nos filles, elle a produit des sectaires, des pervers et des frustrés. Le vol et le mensonge sont les fondements de la nation algérienne où l’islam est religion d’État. La télévision devenue un minaret aux heures de prière est également une source de calomnies et de propagandes au service d’un pouvoir spoliateur.
Soixante ans après l’indépendance, nous sommes toujours à la recherche de celle-ci. Nous faisons face à un pouvoir tyrannique qui prend en otage nos enfants, empêche notre diaspora de rentrer chez elle après avoir tenté de la rendre apatride, construit des mosquées et des prisons au lieu des hôpitaux et des écoles dignes de ce nom, nous impose une langue et une religion. En vingt ans, il a détourné plus de 1 000 Milliards de Dollars, sachant que le plan Marshall qui avait permis à toute l’Europe de rebondir après la Deuxième Guerre mondiale aurait coûté aux États Unis 173 Milliards de Dollars. La junte militaire algérienne aurait pu hisser toute l’Afrique au rang des pays développés.
M. AMAGHNAS
Azul . Bonjour .Ce n’est que de la démagogie de l’excès de zèle de la part de certains Algériens pour faire le buzz médiatique .demandez leur de prendre un vol Alger le Caire et rentrer à Gaza pour se battre aux côtés leurs » frères « Palestiniens » , vous allez voir leur réaction , ce sont des lâches . combien de fois , j’ai fait l’expérience avec des citoyens ici même en France . je ne l’ai jamais revu .UN thème de propagande stérile . EL KHOUBATHA .
L’humanité subit une mutation extraordinaire, ici et la des systèmes liberticides se mettent en place pour OBEIR à l’oligarchie mondialiste, et pendant ce temps la, les petits peuples pensent plutôt à la manière de se garantir un petit coin des les basse-cours du Nouvel Ordre Mondial !
Pauvre peuple que nous sommes, et quelle analyse éhontée dans le seul but et de sauver désespérément le ver de l’islamophobie et de l’arabophobie !
soutenir la Palestine est un faux problème pour faire oublier aux algériens tout les problèmes intérieurs de l’Algérie et mieux faire oublier aux algériens qu’ils sont gouverné par une mafia militaire qui se partage les rentes gazières et pétrolières